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Toute Écriture est inspirée de Dieu et utile pour enseigner, pour convaincre, pour redresser, pour éduquer dans la justice, afin que l’homme de Dieu soit adapté et préparé à toute œuvre bonne. (2 Timothée 3:16-17)

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Vous avez à votre disposition une série d’études bibliques. Ces études abordent les thèmes fondamentaux de la doctrine chrétienne tels qu’ils sont révélés dans le Livre inspiré de Dieu, la Bible.

Certains de ces thèmes abordent la connaissance de Dieu, de Sa création, de Ses œuvres; d’autres sont plus pratiques et montrent comment vivre sa foi de manière à être agréable à Dieu.

Qu’à travers ces études votre amour pour la Parole de Dieu grandisse et que vous puissiez davantage faire confiance en Celui qui est l’Auteur.

lundi 23 avril 2012

PHILADELPHIE


LES 7 EGLISES D’ASIE


Apocalypse 3:7-13

PHILADELPHIE
Philadelphie était située à un carrefour entre l’Orient et l’Occident.
De par cette position stratégique, cette ville avait une vocation missionnaire : être un centre de rayonnement pour la langue et la culture grecques dans les régions avoisinantes.
Comme pour Sardes, elle était située dans une région sismique et subissait de fréquents tremblements de terre : la ville fut pratiquement détruite en l’an 17 après JC.
Son nom vient du grec philadelphia qui veut dire « amour des frères », « amour fraternel ».
L’église de Philadelphie représente l’Eglise de l’amour fraternel, l’Eglise fidèle.
Comme pour Smyrne, elle ne reçoit que des éloges de la part du Seigneur. Aucun reproche.
Puissions-nous être également une église irréprochable aux yeux de Dieu (ce qui ne veut pas dire parfaite).


Pourquoi cette église modèle plaisait tant à Dieu ?
Premièrement, comme son nom l’indique, parce qu’elle mettait en pratique l’amour fraternel.
C’est le plus grand commandement que Jésus a adressé à ses disciples avec celui d’aimer Dieu :
Je vous donne un commandement nouveau, Aimez-vous les uns les autres; comme je vous ai aimés, vous aussi, aimez-vous les uns les autres. A ceci tous connaîtront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l'amour les uns pour les autres. (Jn 13:34-35)
Ce que je vous commande, c'est de vous aimer les uns les autres. (Jn 15:17)
Il s’agit d’un commandement, d’un ordre, pas d’une option.
L’amour entre chrétiens n’est pas facultatif mais obligatoire. Ne pas aimer son frère ou sa sœur est un péché au même titre que mentir, voler, convoiter etc.
Jean, l’apôtre de l’amour, qui a écrit cette lettre aux Philadelphiens, insiste beaucoup dessus :
Si quelqu'un dit, J'aime Dieu, et qu'il haïsse son frère, c'est un menteur; car celui qui n'aime pas son frère qu'il voit, comment peut-il aimer Dieu qu'il ne voit pas?  Et nous avons de lui ce commandement, que celui qui aime Dieu aime aussi son frère. (1 Jn 4:20-21)
Notre amour pour Dieu doit se voir concrètement dans notre amour pour nos frères.
Nous sommes tous le fruit du même sang, le sang de Christ.
La Bible nous donne une promesse concernant l’amour fraternel :
Celui qui aime son frère demeure dans la lumière, et aucune occasion de chute n'est en lui.  Mais celui qui hait son frère est dans les ténèbres, il marche dans les ténèbres, et il ne sait où il va, parce que les ténèbres ont aveuglé ses yeux. (1 Jn 2:10-11)
Le meilleur moyen de ne pas tomber est d’aimer notre frère. Celui qui n’aime pas est comme un aveugle qui ne sait où il va ; il trébuchera tôt ou tard.
Nous savons que nous sommes passés de la mort à la vie, parce que nous aimons les frères. Celui qui n'aime pas demeure dans la mort. (1 Jn 3:14)
L’amour que nous manifestons les uns pour les autres est une preuve évidente de la vie nouvelle qui nous anime. Un chrétien qui n’aime pas est un chrétien mort.
L’amour que manifestait l’église de Philadelphie n’était pas un amour superficiel, sentimental ; c’était un amour profond, spirituel, volontaire.
Aimer selon Dieu n’est pas chose facile ; il nous en coûte toujours quelque chose (Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné…) :
Petits enfants, n'aimons pas en paroles et avec la langue, mais en actions et avec vérité. (1 Jn 3:18)
L’amour, c’est plus que des sentiments positifs. C’est vouloir le bien d’une personne et agir en sa faveur si cela est nécessaire : donner une parole d’encouragement, de consolation, d’avertissement, donner un peu de son argent, de son temps etc.
Aimer c’est prendre le risque d’être moins aimé des gens que l’on désire aider :
Pour moi, je ferai très volontiers des dépenses et je me dépenserai moi-même pour vos âmes. En vous aimant davantage, serais-je moins aimé de vous? (2 Co 12:15)
Jésus est venu aimer concrètement les hommes sur cette terre mais ils n’ont pas compris son amour, ils l’ont rejeté et crucifié. Heureusement pour chacun d’entre nous qu’il est allé au bout de son amour.
Faisons-nous de l’amour notre 1er objectif dans la vie chrétienne ?
Nous devons aspirer, désirer ardemment grandir dans l’amour:
Pour ce qui est de l'amour fraternel, vous n'avez pas besoin qu'on vous en écrive; car vous avez vous-mêmes appris de Dieu à vous aimer les uns les autres, et c'est aussi ce que vous faites envers tous les frères dans la Macédoine entière. Mais nous vous exhortons, frères, à abonder toujours plus dans cet amour. (1 Th 4:9-10)
Nul d’entre nous n’est encore parvenu à la perfection de l’amour : nous avons tous des progrès à faire.
Ne nous relâchons pas dans notre amour les uns pour les autres : continuons à nous aimer même si parfois les relations ne sont pas faciles. Nous avons tous des faiblesses, mais l’amour retient toujours le meilleur chez l’autre. L’amour est positif. Il espère toujours.

Ap 3:7 : Ecris à l'ange de l'Eglise de Philadelphie, Voici ce que dit le Saint, le Véritable, celui qui a la clé de David, celui qui ouvre, et personne ne fermera, celui qui ferme, et personne n'ouvrira.
Le Seigneur affirme à nouveau sa divinité aux chrétiens de Philadelphie.
- Il est le Saint : Dieu seul est saint en Lui-même, parfaitement saint. Il est totalement séparé du mal, des ténèbres. Tout est parfait et lumière en Lui. Même les démons reconnaissent sa sainteté : Qu'y a-t-il entre nous et toi, Jésus de Nazareth? Tu es venu pour nous perdre. Je sais qui tu es, le Saint de Dieu. (Mc 1:24)
- Il est le Véritable : il est le seul vrai Dieu, la vérité absolue. Il n’est pas un homme pour mentir : Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. (Jn 14:6)
- Il possède la clé de David. La clé est symbole d’autorité, de puissance. Jésus possède l’autorité suprême : Tout pouvoir m'a été donné dans le ciel et sur la terre. (Mt 28:18)
L’église de Philadelphie s’était confiée en lui et de ce fait n’avait rien à craindre.

Ap 3:8 : Celui qui ouvre, et personne ne fermera, celui qui ferme, et personne n'ouvrira.
J'ai mis devant toi une porte ouverte, que personne ne peut fermer.
De quelle(s) porte(s) s’agit-il ?
Il s’agit premièrement de la porte de la grâce, du salut.
Nous vivons à l’époque de la grâce, où l’Esprit de Dieu agit sur toute la surface de la terre pour convaincre les hommes de leurs péchés et diriger leur regard vers Celui qui pardonne.
Aujourd’hui encore, quiconque recherche Dieu de tout son cœur peut Le rencontrer.
Mais ce temps de la grâce finira un jour : que le Seigneur revienne ou que notre course s’achève ici-bas. La porte de la grâce se refermera un jour et personne ne pourra l’ouvrir.
C’est ce qu’illustre la parabole des 10 vierges : Pendant qu'elles (les vierges folles) allaient en acheter, l'époux arriva; celles qui étaient prêtes entrèrent avec lui dans la salle des noces, et la porte fut fermée. Plus tard, les autres vierges vinrent, et dirent, Seigneur, Seigneur, ouvre-nous. Mais il répondit, Je vous le dis en vérité, je ne vous connais pas. (Mt 25:10-12)
C’est aujourd’hui, maintenant, qu’il faut prendre une décision pour suivre Jésus-Christ. Demain sera peut-être trop tard. Si nous entendons l’appel de Dieu dans notre cœur, ne l’endurcissons pas. Disons oui à Jésus.
Car il dit, Au temps favorable je t'ai exaucé, Au jour du salut je t'ai secouru. Voici maintenant le temps favorable, voici maintenant le jour du salut. (2 Co 6:2)

Deuxièmement, cette porte symbolise la porte du témoignage, de l’évangélisation.
De même que la ville de Philadelphie avait une vocation missionnaire pour répandre la culture grecque, de même l’église de Philadelphie devait répandre non pas une langue, une culture ou une tradition mais la Parole éternelle de Dieu.
Dieu seul peut ouvrir la porte pour évangéliser. C’est ce que Paul demandait dans ses prières :
Priez en même temps pour nous, afin que Dieu nous ouvre une porte pour la parole, en sorte que je puisse annoncer le mystère de Christ, pour lequel je suis dans les chaînes. (Col 4:3)
Je resterai néanmoins à Ephèse jusqu'à la Pentecôte; car une porte grande et d'un accès efficace m'est ouverte, et les adversaires sont nombreux. (1 Co 16:8-9)
Si nous voulons être efficaces dans notre témoignage nous ne devons pas enfoncer les portes fermées (celles des cœurs ou des villes) mais nous attendre à ce que Dieu les ouvre.
Les portes de l’ennemi, les bastions des ténèbres ne peuvent être enfoncées que par la puissance de Dieu :
Je marcherai devant toi, j'aplanirai les chemins montueux, je romprai les portes d'airain, et je briserai les verrous de fer. (Es 45:2)
En son temps, Dieu a brisé le « rideau de fer » pour que les pays de l’Est puissent entendre l’Evangile. Il l’a fait en réponse à des milliers de prières an faveur de ces pays.
Prions pour que Dieu brise d’autres verrous : les verrous de l’athéisme, du matérialisme en France, les verrous du communisme en Chine, de l’hindouisme en Inde, de l’Islam etc.
Des millions d’hommes et de femmes sont encore emprisonnés derrière des portes fermées.

Ap 3:8 : Je connais tes œuvres. Voici, parce que tu as peu de puissance, que tu as gardé ma parole, et que tu n'as pas renié mon nom…
Parce que tu as peu de puissance : les chrétiens de Philadelphie étaient faibles humainement, socialement, matériellement, comme la plupart des chrétiens à l’époque :
Considérez, frères, que parmi vous qui avez été appelés il n’y a ni beaucoup de sages selon la chair, ni beaucoup de puissants, ni beaucoup de nobles. (1 Co 1:26)
Mais loin de se lamenter sur leur sort, à travers leurs faiblesses, ils s’appuyaient davantage sur le Seigneur et sa puissance.
Ils étaient humbles, ils étaient entièrement dépendants de la grâce de Dieu.
… et Il m'a dit, Ma grâce te suffit, car ma puissance s'accomplit dans la faiblesse. Je me glorifierai donc bien plus volontiers de mes faiblesses, afin que la puissance de Christ repose sur moi. C'est pourquoi je me plais dans les faiblesses, dans les outrages, dans les calamités, dans les persécutions, dans les détresses, pour Christ; car, quand je suis faible, c'est alors que je suis fort. (2 Co 12:9-10)
Comme Paul, plus on se sent petit, pauvre et faible (en nous-mêmes), plus on s’accroche à Dieu, plus on compte sur Lui.
Le danger c’est de se croire suffisamment capable pour accomplir toutes sortes de choses sans l’aide de Dieu. Notre capacité ne vient pas de nous mais de Sa grâce :
Ce n'est pas à dire que nous soyons par nous-mêmes capables de concevoir quelque chose comme venant de nous-mêmes. Notre capacité, au contraire, vient de Dieu. (2 Co 3:5)

Ap 3:9 : Voici, je te donne quelques-uns de ceux de la synagogue de Satan, qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui mentent; voici, je les ferai venir se prosterner à tes pieds, et reconnaître que je t'ai aimé.
La synagogue de Satan représente la fausse religion, les gens qui prétendent être le peuple élu de Dieu mais qui servent plutôt les intérêts du diable.
Les plus farouches opposants aux vrais chrétiens ont toujours été des gens religieux.
Un jour, ces gens fléchiront le genou devant Dieu et devant Ses enfants que nous sommes.
Si aujourd’hui nous sommes jugés, méprisés ou rejetés à cause de notre foi, un jour nous aurons une position d’autorité : Ne savez-vous pas que les saints jugeront le monde? …  Ne savez-vous pas que nous jugerons les anges? … (1 Co 6:2-3)

Je t'ai aimé : Quel compliment extraordinaire pour ces chrétiens de Philadelphie. Être aimé des hommes c’est bien, mais être aimé de Dieu c’est encore plus merveilleux.
Cela nous parle des rapports intimes qui unissaient le Seigneur avec l’église de Philadelphie. Dieu aime tout le monde mais Il a des affinités particulières avec certains. Il a des relations plus ou moins profondes avec certains croyants.
Jean était appelé le disciple que Jésus aimait. Il était le disciple le plus proche de lui.
Dieu attend que nous Lui ouvrions notre cœur, que nous soyons pleinement réceptifs pour que Son amour puisse se déverser dans nos vies.
Certains chrétiens ou chrétiennes, parce qu’ils ont été blessés dans leur vie ont du mal à ouvrir leur cœur à Dieu. Ils ne se laissent pas aimer par Lui. Ils ont peur d’être déçus à nouveau. Ils restent dans leur carapace ; ils n’expérimentent pas l’amour de Dieu.
L’amour des hommes est limité et faillible mais l’amour de Dieu est parfait. Cet amour ne décevra jamais.

Ap 3:10 : Parce que tu as gardé la parole de la persévérance en moi, je te garderai aussi à l'heure de la tentation qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre.
Etre persévérant : Mais celui qui persévérera jusqu'à la fin sera sauvé. (Mt 24:13)
La persévérance est un élément que beaucoup de chrétiens ont perdu en cours de route.
Quand tout va bien, il est facile de chanter Alleluia, d’aller à l’église. Mais quand tout va mal, on commence à gémir, on abandonne la course : on manque de persévérance.
La persévérance c’est le fait de tenir ferme dans l’adversité, d’être endurant dans la difficulté, de s’accrocher à Dieu quels que soient les contrariétés, les soucis de la vie.
C’est continuer à être fidèle même quand tout semble monotone et morne.
Le Seigneur nous demande d’être persévérants parce qu’il ne nous a pas promis une vie chrétienne facile.
Le plus important n’est pas d’être « tout feu tout flamme » le jour de notre conversion mais de tenir ferme jusqu’à la fin, d’être encore bouillant après 10, 20, 30 ans de conversion.
Etre persévérant c’est ne pas marcher par nos sentiments, quand on a envie, mais marcher avec notre volonté. C’est faire ce qui est bon aux yeux de Dieu sans nous poser de question :
Ils persévéraient dans l'enseignement des apôtres, dans la communion fraternelle, dans la fraction du pain, et dans les prières. (Ac 2:42)
Je te garderai aussi à (hors de) l'heure de la tentation qui va venir sur le monde entier, pour éprouver les habitants de la terre.
Le Seigneur fait ici allusion à la grande tribulation qui aura lieu à la fin des temps, un temps de grande détresse dans le monde entier :
Marc 13:19-23
Les temps seront de plus en plus difficiles : Sache que, dans les derniers jours, il y aura des temps difficiles. (2 Tm 3:1)
La grande tribulation sera marquée par la venue de l’Antichrist, l’incarnation de Satan dans un homme : Et maintenant vous savez ce qui le retient, afin qu'il ne paraisse qu'en son temps.  Car le mystère de l'iniquité agit déjà; il faut seulement que celui qui le retient encore ait disparu. Et alors paraîtra l'impie, que le Seigneur Jésus détruira par le souffle de sa bouche, et qu'il écrasera par l'éclat de son avènement. (2 Th 2:6-8)
Ces moments de tribulation concerneront tous ceux qui n’auront pas été enlevés lors de la seconde venue de Christ. Ce sera des moments terribles :
En ces jours-là, les hommes chercheront la mort, et ils ne la trouveront pas; ils désireront mourir, et la mort fuira loin d'eux. (Ap 9:6)

Ap 3:11 : Je viens bientôt. Retiens ce que tu as, afin que personne ne prenne ta couronne.
Je viens bientôt : pas seulement dans peu de temps, mais soudainement, brutalement :
Car vous savez bien vous-mêmes que le jour du Seigneur viendra comme un voleur dans la nuit. (1 Th 5:2)
Si nous ne sommes pas préparés à rencontrer Jésus, nous risquons d’être surpris.
C’est pour cela qu’il nous demande sans cesse d’être vigilant, de ne pas nous relâcher, de ne pas nous endormir dans notre vie spirituelle :
Prenez garde à vous-mêmes, de crainte que vos cœurs ne s'appesantissent par les excès du manger et du boire, et par les soucis de la vie, et que ce jour ne vienne sur vous à l'improviste;  car il viendra comme un filet sur tous ceux qui habitent sur la surface de toute la terre.  Veillez donc et priez en tout temps, afin que vous ayez la force d'échapper à toutes ces choses qui arriveront, et de paraître debout devant le Fils de l'homme. (Lu 21:34-36)

Retiens ce que tu as, afin que personne ne prenne ta couronne :
La couronne ne sera remise qu’au vainqueur, à la fin de sa course terrestre, à celui qui tiendra ferme jusqu’au bout. C’est un combat :
J'ai combattu le bon combat, j'ai achevé la course, j'ai gardé la foi. Désormais, la couronne de justice m'est réservée; le Seigneur, le juste juge, me la donnera dans ce jour-là, et non seulement à moi, mais encore à tous ceux qui auront aimé son avènement. (2 Tm 4:7-8)

Ap 3:12 : Celui qui vaincra, je ferai de lui une colonne dans le temple de mon Dieu, et il n'en sortira plus; j'écrirai sur lui le nom de mon Dieu, et le nom de la ville de mon Dieu, de la nouvelle Jérusalem qui descend du ciel d'auprès de mon Dieu, et mon nom nouveau.
Non seulement le vainqueur recevra une couronne de gloire incorruptible mais il aura le privilège d’être une colonne dans le temple de Dieu.
La colonne évoque la stabilité, la solidité, la permanence.
A cause des fréquents tremblements de terre, les croyants de Philadelphie devaient souvent se réfugier dans des tentes à l’écart de la ville.
Un jour, ils ne connaîtront plus cette angoisse, ils demeureront éternellement dans la présence de Dieu.
En tant que colonnes, nous aurons de grandes responsabilités dans le royaume à venir.
Enfin, le vainqueur recevra 3 noms écrits sur lui : le nom de Dieu, de la nouvelle Jérusalem, et de Jésus.
Dieu s’identifiera complètement avec ses fidèles et Il leur donnera en partage la Nouvelle Jérusalem, notre destinée finale et glorieuse.

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