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Vous avez à votre disposition une série d’études bibliques. Ces études abordent les thèmes fondamentaux de la doctrine chrétienne tels qu’ils sont révélés dans le Livre inspiré de Dieu, la Bible.

Certains de ces thèmes abordent la connaissance de Dieu, de Sa création, de Ses œuvres; d’autres sont plus pratiques et montrent comment vivre sa foi de manière à être agréable à Dieu.

Qu’à travers ces études votre amour pour la Parole de Dieu grandisse et que vous puissiez davantage faire confiance en Celui qui est l’Auteur.

mercredi 18 avril 2012

SARDES


LES 7 EGLISES D’ASIE


Apocalypse 3:1-6

SARDES
Sardes était une ville réputée pour sa position stratégique. Elle était située en haut d’une colline et protégée par des falaises abruptes qui faisait d’elle une ville quasi imprenable.
Elle était renommée à cause du fleuve Pactole qui l’arrosait et qui contenait des paillettes d’or, faisant sa fortune (un pactole = source abondante de richesse).
Quant à son roi, Crésus, fabuleusement riche, inventeur de la monnaie, il est devenu un symbole de prospérité financière.
Cette ville connut une grande catastrophe en l’an 17 après JC quand un tremblement de terre la détruisit presque complètement.
Quand Jean adresse cette lettre, Sardes était une ville sur le déclin, en passe de mourir.
L’église de Sardes représente les églises endormies, celles qui se sont assoupies spirituellement.


Ap 3:1 : Ecris à l'ange de l'Eglise de Sardes, Voici ce que dit celui qui a les sept esprits de Dieu et les sept étoiles…
- Le Seigneur se présente comme celui qui a les 7 esprits, à savoir la plénitude de l’Esprit.
Jésus-Christ possède l’Esprit sans mesure : L'Esprit de l'Eternel reposera sur lui, Esprit de sagesse et d'intelligence, Esprit de conseil et de force, Esprit de connaissance et de crainte de l'Eternel. (Es 11:2). Nous avons là 7 caractéristiques de l’Esprit de Dieu.
Non seulement Jésus possède la plénitude de l’Esprit mais il la déverse sur son Eglise :
Elevé par la droite de Dieu, il a reçu du Père le Saint-Esprit qui avait été promis, et il l'a répandu, comme vous le voyez et l'entendez. (Ac 2:33)
Jésus désire remplir et baptiser de son Esprit chaque croyant : Moi, je vous baptise d'eau, pour vous amener à la repentance; mais celui qui vient après moi est plus puissant que moi, et je ne suis pas digne de porter ses souliers. Lui, il vous baptisera du Saint-Esprit et de feu. (Mt 3:11)
L’église de Sardes avait besoin de se rappeler cela car elle était moribonde, presque sans vie.
Cette église avait besoin plus que jamais de l’Esprit de vie qui est en Christ.
Contrairement à l’église d’Ephèse, Jésus ne fait pas référence aux chandeliers, car l’église de Sardes avait perdu son éclat, sa flamme du témoignage.
Loin d’être une lumière pour ce monde de ténèbres, le monde l’avait pénétrée et obscurcie.
- Le Seigneur est aussi celui qui tient les 7 étoiles dans sa main, à savoir l’ensemble de ses messagers ou pasteurs. Par extension, il tient chaque serviteur dans sa main.
Il désire que chacun de ses serviteurs brille comme une étoile : Faites toutes choses sans murmures ni hésitations, afin que vous soyez irréprochables et purs, des enfants de Dieu irréprochables au milieu d'une génération perverse et corrompue, parmi laquelle vous brillez comme des flambeaux dans le monde,  portant la parole de vie... (Ph 2:14-16)
Nous sommes tous appelés à être les messagers de Dieu : nous sommes porteurs d’un trésor inestimable, la Parole de Dieu.

Ap 3:1 : Je connais tes œuvres. Je sais que tu passes pour être vivant, et tu es mort.
D’emblée le Seigneur adresse un blâme à cette église, contrairement aux précédentes, car sa situation est très grave.
Cette église était morte aux yeux de Dieu : le Seigneur use d’une hyperbole, il exagère dans le but de faire mieux passer le message. Il ne s’agissait pas d’une mort absolue, autrement il n’aurait pu lui parler encore.
Pourtant cette église n’était pas inactive, oisive ; elle faisait encore des œuvres.
Elle devait sûrement en faire beaucoup car elle jouissait d’une bonne réputation au milieu de la ville et des hommes.
Elle avait la renommée d’être une église vivante, active, réveillée alors qu’en réalité elle était morte spirituellement. Quelle tragédie !
L’église de Sardes avait conservé la forme extérieure de la piété sans en avoir le fond : elle était devenue religieuse au lieu d’être spirituelle : c’était le cas des Pharisiens :
Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites! Parce que vous ressemblez à des sépulcres blanchis, qui paraissent beaux au-dehors, et qui, au-dedans, sont pleins d'ossements de morts et de toute espèce d'impuretés. Vous de même, au-dehors, vous paraissez justes aux hommes, mais, au-dedans, vous êtes pleins d'hypocrisie et d'iniquité. (Mt 23:27-28)
Les Pharisiens étaient tombés dans cet état parce qu’ils recherchaient l’approbation des hommes plus que celle de Dieu. Ils étaient plus sensibles à leur propre réputation qu’à celle de Dieu. Le véritable serviteur de Dieu doit avant tout plaire à son Maître :
Et maintenant, est-ce la faveur des hommes que je désire, ou celle de Dieu? Est-ce que je cherche à plaire aux hommes? Si je plaisais encore aux hommes, je ne serais pas serviteur de Christ. (Ga 1:10)
Au jour du jugement, ce n’est pas l’avis de hommes qui comptera mais uniquement l’avis de Christ, le juste Juge.
Il n’y a pas de pire situation pour un chrétien ou une église que d’avoir le sentiment d’être en bonne santé alors que tout va mal (c’est comme si un cancéreux au stade terminal prétendait qu’il allait bien et qu’il n’avait pas besoin de médecin).
L’un des plus grands dangers dans la vie chrétienne est la présomption spirituelle : on se trompe totalement sur son état, on est complètement aveuglé.
L’église de Sardes était devenue présomptueuse. Aveuglée par son orgueil, elle n’était plus en mesure de discerner son véritable état spirituel.
Heureusement que le Seigneur lui dit clairement la vérité, dans le but de la réveiller.

Tu es mort : tu as perdu la vie de l’Esprit, la vie de Dieu, tu t’es endormie, tu es devenue rétrograde.
Cette église s’était reposée sur ses lauriers, sur ses victoires passées.
Elle ne persévérait plus dans le combat de la foi, elle était tombée dans la facilité.
Elle avait perdu la vision de la croissance, le désir de nouvelles conquêtes spirituelles.
Quand on n’a plus d’objectif précis, on se refroidit et on devient rétrograde.
La mort spirituelle : c’est le pire état que l’on puisse concevoir pour une église ou pour une âme. C’est la régression ultime.
Mieux vaut avoir des combats, même avec quelques défaites, ou des tentations même avec quelques chutes car cela prouve qu’on est bien vivant. On est toujours dans la course, sur le ring. La vie chrétienne est un combat perpétuel : on donne des coups, on en prend.
Les morts ne ressentent rien ; c’est dans les cimetières que tout est calme, qu’il n’y a plus de douleur ou de souffrance. Là où les chrétiens combattent et souffrent, il y a encore de la vie.
L’église de Sardes n’était probablement pas arrivée dans cet état de déchéance du jour au lendemain mais petit à petit, au fil des jours, des semaines.
Peu à peu les choses du monde, les choses terrestres avaient repris le dessus dans le cœur de ces chrétiens : leur cœurs s’étaient endurcis ou avaient laissé poussé des épines :
Ceux qui sont sur le roc, ce sont ceux qui, lorsqu'ils entendent la parole, la reçoivent avec joie; mais ils n'ont point de racine, ils croient pour un temps, et ils succombent au moment de la tentation (épreuve).  Ce qui est tombé parmi les épines, ce sont ceux qui, ayant entendu la parole, s'en vont, et la laissent étouffer par les soucis, les richesses et les plaisirs de la vie, et ils ne portent point de fruit qui vienne à maturité. (Lu 8:13-14)

Ap 3:2 : Sois vigilant, et affermis le reste qui est près de mourir; car je n'ai pas trouvé tes œuvres parfaites devant mon Dieu.
Sois vigilant, c’est-à-dire réveille-toi, ressaisis-toi, secoue-toi, sors de ta torpeur, de ta léthargie.
Souvent nous avons besoin d’un bon électrochoc, quand nous nous assoupissons dans notre marche avec Dieu. Nous avons besoin d’un « pneumachoc », d’un choc de l’Esprit.
Dieu doit parfois crier, élever la voix pour nous réveiller : Il peut le faire par une parole dure à entendre mais salutaire, ou par une épreuve difficile qui nous pousse à revenir à Lui.
Le but des épreuves, les « cris de Dieu », est de purifier notre foi et de nous permettre d’être maintenus en éveil.
Dieu nous connaît ; Il sait que le confort de la vie peut endormir le chrétien le plus aguerri.
Il permet que l’épreuve nous arrive afin de nous préserver du sommeil spirituel :
Mes bien-aimés, ne trouvez pas étrange d'être dans la fournaise de l'épreuve, comme s'il vous arrivait quelque chose d'extraordinaire. Réjouissez-vous, au contraire, de la part que vous avez aux souffrances de Christ, afin que vous soyez aussi dans la joie et dans l'allégresse lorsque sa gloire apparaîtra. (1 Pi 4:12-13)
Si nous sommes de véritables disciples, nous accepterons les épreuves non seulement avec philosophie mais aussi avec joie.

Je n'ai pas trouvé tes œuvres parfaites devant mon Dieu :
L’église de Sardes était active, mais ses œuvres n’avaient pas de valeur aux yeux de Dieu.
Ses œuvres étaient peut-être bonnes en apparence, mais elles étaient humaines, charnelles.
Il y a une différence fondamentale entre accomplir nos œuvres et celles de Dieu :
Car nous sommes son ouvrage, ayant été créés en Jésus-Christ pour de bonnes œuvres, que Dieu a préparées d'avance, afin que nous les pratiquions. (Ep 2:10)
Seules les œuvres préparées et attribuées par Dieu ont de l’importance à Ses yeux.
Nous n’avons pas à choisir de nous-mêmes les œuvres que nous voulons faire pour Dieu, mais c’est Lui qui nous les attribue. Il est l’architecte de la maison, nous sommes Ses ouvriers ; c’est Lui qui détermine les rôles de chacun.
Les seules œuvres parfaites sont celles inspirées par l’Esprit et fondées sur Jésus-Christ.
1 Corinthiens 3:10-15
Faisons attention à ne pas tomber dans l’activisme et à perdre notre récompense.
Mieux vaut accomplir une seule œuvre que Dieu nous a demandée de faire plutôt que 10 000 œuvres que nous faisons de notre propre chef.

Ap 3:3 : Rappelle-toi donc comment tu as reçu et entendu la parole, garde-la et repens-toi... Rappelle-toi : tout chrétien a un devoir, un effort de mémoire.
Dieu ne nous demande pas de ressasser les choses négatives du passé, mais de nous rappeler les expériences positives du passé afin d’être encouragés.
Nous sommes souvent prompts à oublier les bénédictions de Dieu pour nous concentrer sur nos malheurs. (« Compte les bienfaits de Dieu, mets-les tous devant tes yeux »)
Rappelons-nous comment nous avons rencontré Christ, comment pour la 1ère fois, nous avons fait l’expérience de sa grâce, de son amour, du pardon de nos péchés :
Souvenez-vous de ces premiers jours, où, après avoir été éclairés, vous avez soutenu un grand combat au milieu des souffrances. (Hé 10:32)
Car on raconte, à notre sujet, quel accès nous avons eu auprès de vous, et comment vous vous êtes convertis à Dieu, en abandonnant les idoles pour servir le Dieu vivant et vrai. (1 Th 1:9)
En particulier, rappelons-nous comment nous avons reçu la Parole de Dieu avec zèle :
Ces Juifs avaient des sentiments plus nobles que ceux de Thessalonique; ils reçurent la parole avec beaucoup d'empressement, et ils examinaient chaque jour les Ecritures, pour voir si ce qu'on leur disait était exact. (Ac 17:11)
Nous devons conserver à tout prix notre amour, notre respect pour la Parole de Dieu.
La manière dont nous traitons la Parole reflète exactement la manière dont nous aimons Dieu.
Si nous aimons Dieu, nous aimerons Sa Parole et nous passerons du temps à la lire, la méditer, l’étudier. Nous ferons des efforts pour accroître notre connaissance des Ecritures.
Nous ne devons pas juger la Parole, mais nous laisser juger par elle. Elle a autorité absolue sur nos vies.
Le relâchement dans l’étude de la Parole est une cause majeure dans l’instabilité de bien des chrétiens. N’étant pas ancrés, affermis dans le rocher de la Parole, ils sont ballottés par les circonstances de la vie.
Il ne suffit pas d’entendre, de recevoir la Parole une fois (à l’occasion d’une ou 2 réunions/ semaine) mais il faut l’entretenir, la repasser dans son cœur, la garder comme un précieux trésor :
Retiens dans la foi et dans l'amour qui est en Jésus-Christ le modèle des saines paroles que tu as reçues de moi. Garde le bon dépôt, par le Saint-Esprit qui habite en nous. (2 Ti 1:13-14)
L’église de Sardes avait négligé la Parole au point de devenir malade, affaiblie, puis morte spirituellement.

Ap 3:3 : Si tu ne veilles pas, je viendrai comme un voleur, et tu ne sauras pas à quelle heure je viendrai te surprendre.
Le Seigneur revient bientôt. C’est l’un des messages-clés d’Apocalypse.
Il revient d’abord pour juger son Eglise : Car c'est le moment où le jugement va commencer par la maison de Dieu. Or, si c'est par nous qu'il commence, quelle sera la fin de ceux qui n'obéissent pas à l'Evangile de Dieu? (1 Pi 4:17)
Il nous demande de veiller, de nous préparer. La meilleure façon d’être prêts quand il reviendra est de marcher chaque jour dans l’obéissance, de lui être fidèle dans les petites comme dans les grandes choses qu’il nous demande.
Beaucoup de gens qui se disent chrétiens seront surpris quand Jésus reviendra parce que leur cœur se sera laissé refroidir ou endurcir.
Dans ce verset, le Seigneur fait allusion à un épisode de l’histoire de Sardes : Sardes avait la réputation d’être une ville imprenable mais elle avait un point faible : un de ses côtés donnant sur un précipice n’était pas gardé. Elle fut envahie de nuit à travers cette faille par les troupes de Cyrus, roi de Perse, au 6ème siècle avant JC. Sardes n’était pas assez vigilante, elle avait baissé sa garde. L’ennemi en a profité.
La plus petite faille dans nos vies spirituelles peut être à l’origine de la plus grande catastrophe. Ne laissons aucune porte ouverte à Satan. Il ne nous fera pas de cadeau :
Veillez donc, puisque vous ne savez pas quel jour votre Seigneur viendra. Sachez-le bien, si le maître de la maison savait à quelle veille de la nuit le voleur doit venir, il veillerait et ne laisserait pas percer sa maison. C'est pourquoi, vous aussi, tenez-vous prêts, car le Fils de l'homme viendra à l'heure où vous n'y penserez pas. (Mt 24:42-44)

Ap 3:4 : Cependant, tu as à Sardes quelques hommes qui n'ont pas souillé leurs vêtements; ils marcheront avec moi en vêtements blancs, parce qu'ils en sont dignes.
Seul point positif à Sardes : il y avait un reste fidèle de croyants, qui persévérait dans la foi, qui n’avait pas succombé à l’atmosphère ambiante dans l’assemblée.
Ils sont un exemple pour nous. Nous ne devons pas nous laisser influencer par la tiédeur de certains croyants. Nous devons rester fermes dans nos engagements.
Sommes-nous des chrétiens « thermomètres » ou des chrétiens « thermostats » ?
Un chrétien-thermomètre va toujours se calquer sur l’ambiance dans laquelle il se trouve : si l’église va bien, il va bien. Dès que l’église va mal, il va mal aussi. Quand les chrétiens autour de lui sont chauds pour le Seigneur, il est chaud. Quand ils sont froids, il devient froid comme eux. Il n’apporte rien, il subit.
Les chrétiens thermomètres vont d’église en église, trouver celle qui leur apportera ce dont ils ont besoin. Ils pensent plus à recevoir qu’à donner. Ils sont passifs.
Un chrétien-thermostat n’est pas tributaire de l’ambiance ; il va au contraire donner la température, la chaleur aux autres. Il reste ferme quelque soit son entourage. Si les chrétiens autour de lui sont froids, il reste bouillant. Il se bat contre vents et marées. Il est présent quand les choses vont bien ou quand les choses vont mal.
Soyons des chrétiens thermostats ; contribuons à l’édification de notre église, même (ou surtout) quand elle passe par des difficultés :
N'abandonnons pas notre assemblée, comme c'est la coutume de quelques-uns; mais exhortons-nous réciproquement, et cela d'autant plus que vous voyez s'approcher le jour. (Hé 10:25)

Ap 3:5 : Celui qui vaincra sera ainsi revêtu de vêtements blancs; je n'effacerai point son nom du livre de vie, et je confesserai son nom devant mon Père et devant ses anges.
Le Seigneur promet une triple récompense au vainqueur, c’est-à-dire à celui qui sera resté fidèle jusqu’à la fin, à Dieu et à l’église :
- des vêtements blancs : ce sera notre plus belle garde-robe. Des vêtements façonnés par le Grand Couturier céleste. Le blanc représente la pureté, la sainteté, la justice parfaite :
Je me réjouirai pleinement en l'Éternel, mon âme sera ravie d'allégresse en mon Dieu; Car Il m'a revêtu des vêtements du salut, Il m'a couvert du manteau de la justice. (Es 61:10)
- son nom ne sera pas effacé : ceux qui ne persévèrent pas jusqu’au bout verront leur nom être effacé du livre de vie, le registre divin, où sont consignés les noms de tous les saints :
Quiconque ne fut pas trouvé écrit dans le livre de vie fut jeté dans l'étang de feu. (Ap 20:15)
- la confession de notre nom par le Seigneur : ce sera la plus belle des louanges, le plus grand des honneurs : entendre le Seigneur nous reconnaître et nous accueillir favorablement. Rien que pour cela, cela vaut  tous les combats, toutes les épreuves de la vie :
C'est pourquoi, quiconque se déclarera publiquement pour moi, je me déclarerai moi aussi pour lui devant mon Père qui est dans les cieux;  mais quiconque me reniera devant les hommes, je le renierai aussi devant mon Père qui est dans les cieux. (Mt 10:32-33)
N’ayons pas honte de notre Seigneur bien-aimé ici-bas. Faisons tout pour lui être agréable, pour qu’il n’ait pas à rougir de nous quand nous le verrons.

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